L'Elfe Impératrice Isa
Paysan
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Date d'inscription : 10/10/2006
 |  Sujet: Intermède... Jeu 28 Déc - 6:07 | |
| L’Impératrice était très curieuse de nature, et se passionnait pour la xéno- biologie (Etude des espèces non terriennes. C’est pourquoi il n’y avait que peu d’expédition, de raid ou de pillage de village auxquelles elle ne participait pas en personne.
L’Impératrice fut blessée plus qu’à son tour, mais l’art sacré Elfique de ses Amazones guérisseuses avaient le pouvoir de réparer les chairs si profondes soient la blessure pourvu qu’elle ne soit à la tête, ou la tête tranchée, les deux seuls moyens de mettre fin à l’immortalité Elfique.
En effet, la nuque et la tête des Elfes étaient leur point faible…. Une blessure grave ou la décapitation sont encore après tout ces millénaires d’existence de la race la seule façon de tuer un Elfe bien qu’ encore qu’il se réincarnera dans le prochain bébé Elfe si son cops est brûlé, par exemple. Mais cette fois ci, elle reçus une flèche mal placée et dû s’absenter (IRL = maladie-Hospitalisation).
Mais pire encore, pour une raison inconnue, l’Impératrice perdit momentanément ses pouvoirs (PC EN PANNE), et ne pu communiquer son état à ses pairs, dont la confiance et le respect empêcha toute fâcheuse décisions actives dues à mon absence. Pour l’ensemble de nos compagnon j’avais u problème, mais non pas abandonné TW.
L’Impératrice utilisa ce qui lui restait d’énergie pour transmettre son état d’incapacité à l’Oracle messenger live..
Les événement se passèrent au mieux, et je fut rapidement de retour sans perdre un village, dans quelque monde que ce soit, et m’expliqua à mes guildes respectives.
A son retour dans le système solaire des 6 planètes Tribalistes connues à ce jour, L’Impératrice fut soulagée de l'état de son village: il restait du travail mais rien n'était perdu.
L’Impératrice se mit alors à la recherche de sa Sœur Secrete, mais en chemin, elle fit une étrange aventure:----------------------------------------------------------------------------------------------------
Le Cauchemard de l'Impératrice:
L'Envers du Miroir...
21 Décembre. C’est pour nous autres, peuple du Nord, la Yule. Le jour le plus court, le dernier à se raccourcir, le début de la fin de l’hiers et la promesse du Printemps… : le début du retour du soleil et de la vie. (Fête réelle de la culture européenne avant l’invasion du christianisme (dernière ère glacière), qui avait sa culture, ses dieux et ses traditions.)
L’Impératrice devait se rendre à la Cité y rencontrer sa famille et rester en leur compagnie quelques jours pour les retrouvaille annuelle traditionnelle de la Yule.
(- quelle heure est-il au fait? 9h… hum, ok, mon train es à 11h20, j’ai encore du temps…)
Mais avant de s’en aller, l’Impératrice avait du travail ! Donner les ordres pour la journée, prendre connaissance des rapports des tours de garde pour connaître les mouvements de la nuit, répondre aux messages et rapports, les construction et recrutement, passant d’un monde à l’autre… comme le temps passait d’un quart d’heure à l’autre…
(- 10h30, déjà !? Merde, vite, les forums…, pas de réponse ici, ah, quoi ? ca va pas ? non c’est pas cela, bon, vite une réponse… le suivant ah, il veut du renfort, est-ce que je peux… merde il m’attaque machin, rolala, réagir vite, il arrive quand ? hum, rentrerais plus tôt…et.. puis… 11h, HORREUR !!! Mon train est dans 20mn et je ne suis pas prête !
Je me lève, me précipite sous la douche d’où je ressors à peine entrée, me sèche, m’habille avec les premiers habits qui me tombent sous la main, m’habillant d’une main, cliquant sur mon PC d’un autre, puis, au final, lorsque le temps ne fut plus suffisant… appuyant sur le bouton fatal, avec le pincement au cœur habituel qui m’empoigne lorsque je fais ce geste, raison pour laquelle je ne le fais que très très rarement… et prend la porte de sortie en oubliant d’éteindre mon portable qui de toute manière fais des aller retour en mule pour m’apporter diverses choses  (p2p)
Je me précipite dans les escalier de ce vieil immeuble branlant et fissuré, sans ascenseur, une ancienne auberge où l’on venait se reposer et changer ses chevaux lorsque l’on voyageait sur de longue distance bricolé en immeuble moderne, quelque chose d’épique je puis vous l‘assurer.
Comme au volant de mon bolide dans sport F1 99-02, je me précipite sur la porte d’entrée, l’ouvre, et sors en courant, me prenant dans l’étalage d’un commerçant du marché de Noël qui avait lieu ce jour là… Je jure par tous les saints crétins en m’excusant sans cesser de jurer en Elfique, continuant mon périple en boitillant, toujours au volant de mon bolide à éviter les obstacle qui jonchaient la rue : on y trouvait vraiment n’importe quoi : papier, bouteille, voisins, étalages, cageots, humains ,gamins et créatures de toutes sortes et étalages à conneries et babioles inutiles, le kitch du Noël bourgeois… et d’autres plus inutiles les uns que les autres jouant à qui aura le plus de gogo, ou du moinS de leur argent…
Traversant non sans mal mais avec succès cette foules d’objets hétéroclites animées ou non, j’arrivais enfin devant le bâtiment pompeux de la gare, comme le sont toutes les gares d’ailleurs.. pompeuse… et impersonnelle…
L’Impératrice ‘avait pas déployé ses ailes ni sortit son cheval, la foule étant trop dense, elle aurait créé un remue ménage de mauvaise augure, et elle entra dans l’étrange bâtiment qui était surmonté d’une montre en tout point ressemblant à un montre à gousse, mais énorme, sans couvercle ni chaîne, fixée sur la face avant de l’étrange bâtiment.
Elle renseigna l’Impératrice qu’elle avait 5 minutes pour se rendre au lieux où elle désirait se rendre, le qui des dilligeances…
Elle vit d’étranges panneaux, et compris rapidement que les carrosses avaient des horaires, et que ceux ci arrivaient par des routes différentes. Elle choisis la route 3, le carrosse qui la mènerais à Lausanne, oû réside sa famille… Mais elle fut horrifiée lorsqu un monstre arriva sur le quai avec deux yeux énormes sur le devant, d’une longueur stupéfiante, avec des roue comme un chariot mais qui suivait des lignes métalliques…
Elle fut rassurée lorsqu’elle vit que les badaud ne réagissaient pas, et compris que c’était là le plus étrange des carrosses qui lui avait été donné de prendre !
Elle monta dans l’étrange construction, sans chevaux – un pouvoir énorme doit faire mouvoir cette chose se dit elle…- elle appris rapidement que cette chose se nommait « TRAIN » et qu’il y en avait des millions en mouvement, ce qu’elle pris pour une énorme vantadise impolie vu son ignorance : comment imaginer des milliers de choses pareilles !?
Elle suivit les quidam qui montait dans le carrosse étrange, et découvrit à l’intérieur des sièges. Elle en choisit un et s’asseilla.
Plus tard, la chose commença à se mouvoir, tout d’abord lentement, puis de plus en plus vite, si vite que seuls des Elfes comme Diaoul29 ou l’Impératrice pouvait espérer, en conjuguant leurs ailes à celles de leur chevaux, suivre à cette vitesse.
Arrivée à destination, l’Impératrice était horrifiée !
Il n’y avait que peu d’énergie vitale en ce lieu, et sur les sols poussait une herbe étrange, grise, solide et à l’odeur écœurante !
L’Impératrice n’en pouvait plus, et se demandait ce qu’il se passait là, quel sortilège ont lui avait infligé..
C’est le cas de la dire) de rêver ! De faire un cauchemar atroce!
L’Impératrice perdit patience, et s’il s’agissait d’un rêve elle pouvait en faire à sa guise !
Elle se leva de son siège comme nombre de passagers, et se placa en premie devant la porte, se préparant à sortir ses ailes et à s’envoler.
L’étrange construction ouvrit d’elle même ses portes, comme si cette horreur mouvante avait une volonté propre. Elle déploya ses ailes, bien qu’elle ne sentis pas celle ci se déplier comme d’habitude, fit un bond pour s’élancer et se retrouva à terre, entourée de créatures qui lui demandaient toutes : mais qu’est-ce qui vous a pris !? Vous vous sentez bien ?
L’Impératrice se mit à réfléchir, un soudain mal de tête qui lui embrouillait les idées fit son apparition.
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Elle se leva, remonta dans l’étrange carrosse et revint aussitôt que possible chez elle
Elle appuya sur le bouton fatal, choisis firefox pour avoir tous les mondes à sa disposition, et retourna enfin dans la réalité, entourée de ses amazones, de ses village et de ses guildes, bref, toute sa vie, et tenta d’oublier le cauchemar dont elle avait été victime, « certainement une mauvaise plaisanterie de Diaoul, ma Soeurette. Elle va m’entende ! »
Je me mis à la fenêtre de mes appartements,
et plongea mon regard dans l’horizon, sur le contrebas de Trantor, et ne fut jamais aussi heureuse d’être de retour à Tribal World et dans LA réalité. ... Isa | |
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